Pour nous faire accepter des forages dans nos montagnes, on nous fait miroiter des chiffres fabuleux concernant l'emploi.

Merci à Jacques Cambon pour ses éclaircissements : Voici, pour TOUT le territoire (et pas seulement le Chablais !) des chiffres plus réalistes :

"Même le rapport des CGIET et CGEDD (1) estime cette extrapolation inappropriée en raison des différences entre  les marchés de l’emploi américains et français, et évaluent pour leur part les créations totale d’emplois à « quelques centaines », l’essentiel du travail étant réalisé par le personnel étranger des entreprises de forage.

Et ces estimations ne tiennent pas compte des emplois qui seraient détruits dans l’agriculture ou le tourisme : une étude irlandaise (5) a mis en évidence, outre un solde négatif, la précarité des emplois créés. Qu’en serait-il en France où le tourisme représente 660 000 équivalents emplois plein temps et l’agriculture 708 000?

Mais dans tous les cas on est loin du chiffre « magique » des 100 000 emplois annoncés !

Jacques Cambon"

A lire sur : NGDS74

Pour 15 € la journée, vous pouvez louer un vélo électrique place des Arts.

Pourquoi ça ne fonctionne pas ? (ce que nous a appris le Messager de cette semaine)

Probablement parce que le système manque de souplesse : il faudrait pouvoir louer le vélo à un endroit et le laisser à un autre, le garder juste le temps du trajet, et payer le prix d'un ticket de bus pour ce trajet, pas plus...

Alors il faudra certainement multiplier les points d'échanges, créer un système de cartes et d'automates pour les règlements, les déposes et les reprises. Vélo électrique ou non, d'ailleurs !

Avec le système tel qu'il existe, quel besoin avez-vous de conserver toute la journée un vélo électrique pour 15 € ? A ce prix, on préfère prendre le taxi !

Et il faut absolument un relais à la piscine, à la gare, à l'hôpital... Le problème est effectivement la concurrence possible faite aux magasins, mais seule la commune peut mettre en place un système de bornes, de cartes pour que les vélos soient disponibles à toute heure et facilement. Le développement du vélo loué et de la circulation cycliste conduirait inévitablement au développent du marché du vélo en général, et de ses accessoires ...

A court terme, le coût  est  important, mais à long terme, ce serait un réel bénéfice pour la qualité de l'air, donc pour la santé de tous...

Photo J. Carrillat

La rencontre a été particulièrement enrichissante : côté suisse, les élus écologistes sont beaucoup plus nombreux que dans le Chablais !

Nous remercions Alain Chabrolle, conseiller régional de l'Ain pour sa présence, ainsi qu'Anne Mahrer, députée verte de Genève, et les autres élus qui nous ont fait l'amitié de se pencher sur nos problèmes en première partie de réunion.

Lors de la rencontre avec les Verts suisses et les délégués EELV du pourtour du Léman, Elisabeth Charmot a présenté le Chablais.

voir le diaporama : Présentation du Chablais

Le sujet de la table ronde était la formation en matière de santé. La santé, une préoccupation transfrontalière !

Dans le Chablais, à Thonon comme ailleurs, quand est-ce que le béton arrêtera de remplacer les arbres ?

Et quand il n'y a même pas besoin de couper pour pouvoir construire ?

Nous apportons tous tout notre soutien non seulement aux écolo mais également à tous les gens qui veulent préserver un patrimoine naturel indispensable à la qualité de vie sur la commune de Chens sur Léman.

Coupes d'arbres injustifiées à Chens

Il est surprenant de constater que le Maire se dépêche de modifier le PLU pour étendre la zone industrielle de Vongy, modification soumise en juillet à enquête publique, alors que le changement "global" de PLU est actuellement à l'étude... Cela ne pouvait donc pas attendre ce nouveau PLU ?

Les thononais ne peuvent que se poser des questions.

La mairie vend et ce le plus vite possible avant un nouveau mandat, on l'aura compris : un champ du côté de Marclaz pour des commerces, un autre à Lettroz pour un centre de santé privé.

Quant à la démolition du "Bon Coin", elle reste toujours un mystère, sauf pour ceux qui imaginent qu'il existe réellement une décision de faire passer la route sous la voie ferrée et qui croient toujours que M. Denais tient ses promesses ... C'était une urgence en 2008, nous avait dit le candidat Denais aux élections municipales.