On se demande bien ce que Monsieur Bernaz fait dans la liste des personnes influentes (publiée dans le Messager) : s'il avait de l'influence, on aurait obtenu la 2x2 et les JO, puisqu'il est président des associations destinées à faire aboutir les projets... Il a heureusement une grande capacité à échouer : il suffit qu'il défende une cause pour que nous soyons certains d'y échapper.  

Est-ce que la réciproque est vraie ? Mystère ! Mais étant donné son animosité envers Astrid Baud-Roche, on se met à craindre qu'elle soit élue dès le premier tour.

Les signataires sont un groupe de citoyens de la société civile, de groupes associatifs, et de quelques membres de partis politiques divers. http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2012N22230 

Monsieur Denais souhaite faire clôturer le Parc Thermal de Thonon. La superficie de ce parc a déjà bien été diminuée par la construction d'une résidence hôtelière : l'espace de jeu et de liberté pour les enfants et les jeunes en est d'autant amputé.
Aujourd'hui, on nous annonce la création d'une clôture autour de l'ensemble du Parc, et une ouverture restreinte au public : le parc sera fermé le soir.
Le Parc Thermal est à peu près le seul endroit dans lequel les jeunes peuvent se retrouver et les enfants peuvent jouer.
Le fermer le soir reviendrait à envoyer les adolescents dans les couloirs d'immeubles, dans les parkings.
Notre jeunesse a besoin de ce parc qui est situé en face d'un collège et à deux pas du lycée de la versoie.
De plus, nous nous opposons à la création de bassins dans le parc : ce serait dangereux, et très onéreux pour la commune. Cela ne servirait qu'à justifier la fermeture.
Autre inconvénient : la vue sur le lac depuis l'avenue du Général de Gaulle serait bien enlaidie par une clôture qui barrerait le paysage !
Signez pour que Monsieur Denais, maire de Thonon, renonce à ce projet .

(Tranmettez le lien)

(suite de http://thonon-ecologie.over-blog.com/article-gaz-en-abondance-99550033.html)

 Mardi 20 mars, une petite dizaine de personnes était attendue pour constituer un groupe de référents locaux sur le sujet des gaz de schiste. Nous étions une trentaine, y compris des élus alors que la réunion se voulait confidentielle. Preuve que le sujet est sensible.

Le code minier est un réglement opaque, qui ne laisse aucune place à l'avis du citoyen. Les élus ne sont consultés, en cas de demande de forage prospectif, qu'au travers d'une demande d'autorisation de travaux, ce qui n'est pas forcément facile de refuser si les communes n'ont pas anticipé en publiant des arrêtés sur l'eau ou la protection des eaux.

Il est donc important que tout la population chablaisienne s'unisse pour pour organiser une veille, voire une résistance face à une société qui a les moyens d'appâter les collectivités avec des sommes importantes.

Au delà des problèmes liés à l'exploitation et même à la prospection, qui présentent d'énormes risques pour l'eau, se posent les problèmes climatiques, et de la conservation de ces ressources pour les générations futures.

Brûler, pour avoir de l'énergie,  des matières qui ont mis autant de temps à se former ne sera peut-être pas considéré comme bien malin par les scientifiques de l'avenir...

Pour en savoir plus : www.ngds74.info

Il y a 2 semaines, les déclarations du directeur du Cantonal scandalisaient bien des personnes.

Ceci dit, on ne voit pas comment la population suisse pourrait ne pas crier au scandale devant de tels propos. Il y a bien sûr le rejet de toute xénophobie (mais le mot me semble bien exagéré !), mais aussi la peur de manquer de soignants... soignants qui reviendraient travailler dans nos hôpitaux.

Finalement, tout cela nous conviendrait puisque le milieu hospitalier haut-savoyard manque de personnel.

La meilleure façon de diminuer l'empreinte carbone de la population active étant de limiter la distance travail/domicile, il serait peut-être intéressant que les entrepreneurs suisses, et pas seulement les hôpitaux, embauchent le personnel local.

Si ce n'est pas le cas, ce n'est pas seulement parce que les Français employés à des postes clefs embauchent préférentiellement des Français... En important de la main d'oeuvre française, la Suisse fait de belles économies : le coût de la formation est assumé par la France ! 

Et les hôpitaux français recrutent à l'étranger...

 Et tant pis pour le bilan carbone.