Et les élus, brusquement, découvrent qu'il n'y a plus de place.
Gaspillée, la place... et maintenant, "y'en n'a plus !"
Nous gardons pour nous la réponse à la question : "et si on avait fait un stade, est-ce que ça l'aurait gaspillé, la place ?", mais là, il est trop tard. Cette politique nous a conduit droit au mur, et, aujourd'hui, on cherche encore de l'espace pour des infrastructures qui ne seront pas vitales pour les générations à venir, alors qu'un espace agricole ou un corridor biologique le sont et le seront de plus en plus avec les modifications liées aux évolutions climatiques.
Donc, notre stade, on le construit où ? Une double page dans le Thonon magazine, un beau dessin, pour expliquer que, finalement, on n'a pas de place pour le faire et qu'il nous coûterait 40ans de dettes ... donc qu'on ne le fera pas... (ouf!) mais alors, pourquoi tant en parler ? Parce que c'est encore une promesse électorale non tenue, faute d'une réflexion suffisante en amont ?